Signée le 25 juin par l’État, la région et la Cress, la convention d’agrément marque la reconnaissance par les pouvoirs publics des missions renforcées que la loi confère aux Cress. Le texte, s’appuyant sur le poids de l’ESS dans la région capitale, rappelle les missions de promotion, développement et représentation inscrites dans la loi. L’agrément est valable trois ans et il est tacitement reconduit. De cette convention découle la signature d’une « convention d’objectifs et de moyens » pour l’année 2015, avec un montant de 50 000 € par la région et de 45 000 euros par l’État. C’est l’adjoint au secrétaire général aux affaires régionales, Paul-Emmanuel Grimonprez, qui représentait le préfet de région, tandis que le vice-président Planchou représentait Jean-Paul Huchon et qu’Eric Forti, le président de la Cress représentait celle-ci.
Avec cette signature, la Cress IdF est une des premières à décliner ainsi la loi ESS de 2014 en se dotant d’un tel document.